1998

AVERSE (L’)
1998
eau-forte, aquatinte et pointe sèche
L: H:
Cuivre éxécuté dans le jardin du graveur à cassaignes avec quelques libertés sur la situation des arbres et inversion due au tirage acceptée.
Plusieurs états salis au cours du travail n’ont pas été conservés;
Présenté à la Société Nationale des Beaux Arts en 2001
Reproduite dans le catalogue de la Société Pointe et Burin en 1999

LE CRYPTOPORTIQUE
1998
L: 250 H: 250
Eau-forte et pointe sèche sur cuivre
Fait partie d’une suite inspirée par la lecture des « jardins romains » de Pierre Grimal: p.228, (La casa omerica= la maison des cryptoportiques, ouverture de la façade sur jardin)
1er état: 2 épreuves numérotées en romain
2è état: reprise tant à l’eau-forte qu’en pointe sèche portant sur l’ensemble, une épreuve d’essai sur japon appliqué et tirage de 50 exemplaires numérotées en arabe, également sur japon.

DIAETA APOLLINIS (LA)
1998
Eau-forte et pointe sèche sur cuivre
L: 250 H: 250
la diaeta a la forme d’un petit temple prenant place dans le jardin voué à l’ambulatio, il évoque un évènement mythologique sur lequel il invite à la méditation; (d’après « les jardins romains » de P. Grimal).
Etat définitif tiré à 50 exemplaires numérotés en arabe, tirés sur Japon appliqué.

HAMADRYADE RÊVE SON ARBRE (L’)
1998
Eau-forteet pointe sèche sur cuivre
L: 250 H: 330
L’arbre sous lequel repose l’hamadryade a été dessiné dans un bosquet sur le plateau qui surplombe le village de Cassaignes, le Sarrat (Aude)
1er état: sans le personnage, 2 épreuves numérotées en romain.
2é état: reprise branchages et aiguilles du pin, 2 épreuves sans n°
3é état: gravure de l’hamadryade allongée sous le pin, une épreuve sans n).
4é état: pointe sèche pour les ombres sur le corps et sur le sol, reprise également du grand arbre, une épreuve retouchée au crayon, puis, après légères retouches à la pointe sèche, commencement du tirage à 50 exemplaires numéroté en arabe.

LE NYMPHÉE AUX ACANTHES
1998
Eau-forte et pointe sèche sur cuivre
L: 250 H: 250
Le nymphée, issu du grec: « nymphaeum » ne peut s’attribuer qu’à des édifices sacrés, des sanctuaires des nymphes…Il évoque tout un cortège d’associations à la fois religieuses et esthétiques (P. Grimal).
Nombreuses épreuves en cours de travail, plus ou moins maculées.
Etat définitif tiré à 50 exemplaires sur Japon appliqué, numérotés en arabe.